Le G5 propose des collaborations public-privé accrues pour développer la télémédecine
A l’occasion des 5e rencontres du G5, un livre blanc a été publié regroupant les propositions de l’organisation pour les élections de 2017.
Le G5 santé est un “cercle de réflexion, qui rassemble les principales entreprises françaises de la santé et des sciences du vivant. BioMérieux, Guerbet, Ipsen, LFB, Pierre Fabre, Sanofi, Servier et Théa sont des entreprises qui ont choisi la France comme plateforme de développement international et ont fait de l’effort de recherche une priorité”.
“Pour que la France maintienne sa position de leader comme grand pays doté d’une industrie de santé puissante et performante, le G5 Santé avance 20 propositions. Ces dernières constituent le socle d’un partenariat avec les pouvoirs publics afin de réformer, dans le dialogue et dans le cadre d’une approche globale de long terme, la gouvernance du système de santé. Ces propositions visent à refonder l’accès des patients aux produits de santé, favoriser l’innovation médicale, soutenir la production sur le territoire national et contribuer à l’équilibre de la balance commerciale”.
Parmi ces 20 propositions, la proposition 10 évoque la télémédecine. La proposition est “d’anticiper les évolutions des métiers et proposer des formations adéquates, en promouvant un modèle ouvert d’interface entre professionnels de la santé, chercheurs et industriels, notamment autour des nouvelles solutions ou usages innovants comme la télémédecine ou la recherche à partir des bases de données, ainsi qu’autour des technologies de la bioproduction”.
Cette proposition recoupe la position de Télémédecine 360 visant à encourager le développement de la formation à la télémédecine ainsi que de trouver de nouvelles solutions de déploiement.